Dommartin
(Accueil)

BARDET Claude Victor
BERTHELET Claude
BORDAT Eugène
BORRET Auguste
BOUVARD Maurice
BROUILLARD Joseph
BUATHIER Marie Eugene
BUIRON Ernest
BUIRON Jean Marie
DESCOTTES Jean Marie
DESPLANCHES Claudius
DESPLANCHES Jean Marie
DODARD Claude François
DOTHAL Joseph
DUBOIS Claude
DURAND Claude Joseph
DURAND Denis
DURAND Pierre François
ECOCHARD Claude
FAVRE Claude
FEILLENS Claude Emile
FONTAINE Alfred
FONTAINE Auguste
GERET Constantin
JOSSERAND Alphonse
PELLETIER Alexandre
PELLETIER Alfred
PELLETIER Jules
PEULET Ferdinand
PRIOLET Célestin
RAPPET Marius
RION Joseph
ROUX Joseph
ROUX Louis
SERVIGNAT Jean Marie
VIEUX Hippolyte
VIEUX Léon






 

 

BARDET Claude Victor


Ses origines

Claude Victor BARDET est né le 1/06/1895 à Marsonnas au hameau de Montcindroux.
Son père Joseph avait 45 ans et était cultivateur.
Sa mère Justine née LAMBERET avait 40 ans.


 

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Claude Victor BARDET mesurait 1.73 m; il avait les cheveux châtain et les yeux bleu.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et compter.

 

Sa vie avant la guerre
 



Recensement Dommartin 1906 - Le Montjoy -

Liens Geneanet vers frères et soeur.



Recensement Dommartin 1911 - Le Montjoy -


Au moment du conseil de révision Claude Victor BARDET exerçait le métier de boulanger.
 

La guerre

Claude Victor BARDET est incorporé au 171e RI à compter du 16/12/1914.
Il passe au 407e RI (10e compagnie) le 1/04/1915.
Il est tué le 17/09/1915 à 5 h 15 à Neuville Saint Vaast (Pas de Calais).
Il est inhumé au Carré militaire de Mont-Saint-Éloi (62 - Pas-de-Calais) tombe : Carré 1, rang C, tombe 31.

Historique du 407e régiment d'infanterie

Le 8 juillet 1915, le 407e passait à la 130e D. I. et était presque immédiatement appelé à relever dans le secteur du 3e C. A. (général HACHE), sur le front de la Xe armée (général d'URBAL), des éléments de la 6e D. I. vers Neuville-Saint-Vaast, à la cote 123
A plusieurs reprises, en juillet, août et septembre 1915, le 407e tint la ligne encore mal stabilisée depuis les récentes attaques. Il coopéra largement aux travaux considérables ordonnés par le commandement pour préparer une offensive prochaine.
Dans ce secteur, ravagé par les deux artilleries, les torpilles et les engins de tranchée, obligés souvent de lâcher l'outil pour se défendre à la grenade, les jeunes recrues du 407e R. I., malgré la résistance opiniâtre de l'adversaire, parvinrent à établir et à tenir des parallèles de départ dont certaines, dans le voisinage de la barricade du Chemin-Creux des Carrières (face à l'ouvrage allemand des Cinq-Chemins), arrivaient à 15 mètres de la ligne boche, tandis qu'elles rendaient intenables à l'ennemi ses propres tranchées.
Travaillant sous la mitraille, au milieu des cadavres, les unités du 407e exécutèrent la tâche qui leur avait été confiée.
Relevé le 22 septembre, le 407e touchait ses casques au cantonnement de Pénin et se mettait en marche au soir du 24 pour prendre part à l'action générale projetée.