PRIOLET Célestin Auguste
Ses origines
Célestin PRIOLET est né le 21/06/1891 à Saint Genis sur Menthon au
hameau de La Terrasse.
Son père Pierre avait 39 ans et était forgeron.
Sa mère Marie Joséphine née COCHET avait 30 ans et était couturière.
Signalement
Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment
du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Célestin PRIOLET mesurait 1.58 m; il avait les cheveux châtain et les
yeux bleu clair.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et
compter.
Sa vie avant la guerre
Liste électorale Dommartin 1895.
Recensement Dommartin 1901 - le bourg - (Pierre PRIOLET était déjà
inscrit sur les listes électorales de DOMMARTIN en 1895).
- Marie Claire Joséphine née à Dommartin le 27/03/1894; mariée à Dommartin
le 9/08/1917 avec Pierre DESCHAMPS; remariée le 30/01/1926 à Fontaine
sur Saône avec Claude François PETAVY; décédée à Caluire et Cuire le
21/03/1959.
- Marie Julie Eléonore née à Dommartin le 2/02/1896; mariée à Dommartin le
30/11/1925 avec Georges Francisque BOURRAS; décédée le 21/09/1972 à
Fontaine sur Saône.
- Marie Hélène née le 23/02/1898 à Dommartin; mariée le 11/09/1920 à
Dommartin avec Elie Antoine LEPREZ (?).
- Antoine Auguste né le 3/03/1900 à Dommartin; marié à Fontaine sur Saône
le 18/04/1925 avec Marie Henriette DESSAINTJEAN.
Au moment du conseil de révision Célestin PRIOLET exerçait le métier
d'employé de commerce à Macon.
Il est incorporé le 8/10/1912 au 44e RI.
La guerre
Célestin PRIOLET décède de blessures de guerre le 7/06/1915 à Fontenoy
(Aisne) à l'ambulance 3/75 (mort à l'arrivée).
Il a reçu la médaille militaire bronze le 9/11/1920.
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Historique du 44e RI |
dont extrait : Après un court repos, la 14e division entre en
ligne sur le plateau de Nouvron, à l'extrême pointe de l'angle que forme
le front à peine stabilisé et d'où l'ennemi menace Paris. Le régiment,
face au village, reste sur place jusqu'en août. Commencée dans la boue
de l'hiver, l'organisation du secteur se poursuit sans répit, malgré le
feu continuel d'un ennemi extrêmement vigilant et bien décidé à nous
mener la vie dure. Néanmoins, les boyaux se creusent, les tranchées
s'aménagent, les abris s'ouvrent et les larges réseaux, dont la pose est
si meurtrière, constituent pour les troupes qui nous relèvent une solide
barrière de protection.
44e RI : extrait des pertes.
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