Saint Jean sur Veyle
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ROZAND Emile
ROZAND Louis
VALETTE Antoine
VERNAY Jean Marie
VERNAY Joseph
VILLARD Jean Marie











































































 

 

GARDET Pierre Marie


Ses origines


Pierre GARDET est né le 14/11/1879 à Saint Point dans la Saône et Loire.
Son père Pierre avait 31 ans et était cultivateur.
Sa mère Françoise née MONTEL avait 28 ans.
 

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Pierre GARDET mesurait 1.69 m; il avait les cheveux brun et les yeux châtain.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et compter.
 

Sa vie avant la guerre
 


Recensement Saint Point 1886 - hameau de Blanchizet -

Son père décède à saint point en 1890.

 - Marguerite



Au moment du conseil de révision il exerçait le métier de cultivateur à Saint Point.
Il est incorporé au 146e RI le 16/11/1900.
Il est libéré le 19/09/1903.
En 1907 il s'installe à la Chapelle de Guinchay puis à Pierreclos en 1908.
En mai 1910 il réside à Davayé au hameau des Plantes.



Recensement Davayé 1911 - Vers l'église -



Le 19/04/1914 il s'installe à Prissé au hameau de Mouhy.



Pierre GARDET se marie à Saint Jean sur Veyle le 26/02/1917 avec Louise BEGUET.
 

La guerre


Pierre GARDET est mobilisé et incorporé le 6/08/1914.
Il sert successivement au 146e RI (8/10/1914), au 76e RI le 24/04/1915,au 62e RI le 27/12/1915 puis au 52e régiment territorial d'infanterie le 20/08/1917.
il est tué devant Itancourt le 11/11/1917 (279e RI - 22e compagnie).
Il est inhumé primitivement à Urvillers.
Il a été transféré le 5/03/1924 à la nécropole de Saint Quentin dans l'Aisne tombe 1081.

Activités du 279e RI :

PÉRIODE DU 16 AOUT 1917 AU 21 JANVIER 1918
Relevé dans le secteur de Vauxaillon, le 279ème R. I. remonte vers le Nord par étapes, parallèlement au front. Il s'arrête quelques jours dans la région Apilly-Babœuf (Oise). Pendant ce temps, les unités sont reconstituées, l'instruction est poussée activement.
Il arrive vers le 28 Août dans le secteur Bois d'Urvillers, Ferme Puisieux où il relève le 52ème R. I. La période qui suit va être employée à l'organisation méthodique du terrain. Un dispositif nouveau, celui des groupes de combat, est mis à l'étude d'abord puis appliqué ensuite sur l'ensemble des première et deuxième positions. Il permet de réaliser efficacement la défense et la surveillance du secteur avec un minimum d'effectifs. Dans l'exécution de cette tâche modeste, entreprise en plein hiver, par des nuits sombres, sous les coups d'une artillerie ennemie toujours en éveil, le 279ème R. I. déploie les plus belles qualités d'endurance et de volonté. Et comme il importe de toujours maintenir intact l'esprit offensif des unités, des coups de main audacieux sont réalisés à tour de rôle par les compagnies ; l'un d'eux, celui du 18 Octobre 1917, dirigé par le Lieutenant COSSENET, réussi d'une façon particulièrement brillante, il permet de ramener des prisonniers du 5ème grenadiers de la Garde, une mitrailleuse et des renseignements précieux sur l'ordre de bataille de l'adversaire.