Saint Julien sur Veyle
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BEREIZIAT Paul Joseph


Ses origines

Paul Joseph BEREIZIAT est né le 14/05/1887 à Vieu en Valromey.
Son père Claude Joseph avait 45 ans et était brigadier forestier.
Sa mère Gabrielle née CHARPY avait 29 ans.

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Paul Joseph BEREIZIAT mesurait 1.79 m; il avait les cheveux brun et les yeux gris.
Au niveau instruction générale il est classé 4.

Sa vie avant la guerre
 

Paul Joseph BEREIZIAT avait une soeur Pauline.
Au moment du conseil de révision Paul Joseph BEREZIAT exerçait le métier d'instituteur à Chatillon sur Chalaronne..
Il est incorporé au 42e RI le 6/1081908.
Il est nommé caporal le 11/04/1909, sergent fourrier le 26/09/1909, sergent le 16/04/1910.
Il est libéré le 25/09/1910.


Recensement Saint Maurice d'Echazeaux (Corveissiat) 1911.


Liste électorale Saint Maurice d'Echazeaux (Corveissiat) 1914.

Il arrive à Saint Julien sur Veyle en mai 1914.

Paul Joseph BEREIZIAT est promu sous lieutenant de réserve le 14/07/1914.
Il était célibataire.

La guerre

Paul Joseph BEREIZIAT est mobilisé le 2/08/1914 au 44e RI.
Il est tué le 13/09/1914 au combat d'Autrèches.

Historique du 44e RI

Dont extraits : Enfin, le 9 septembre dans la soirée, les routes à l'horizon se couvrent de nuages de poussière : les lourds convois, les échelons d'artillerie fuient précipitamment vers le nord : les Allemands vaincus abandonnent le combat. La première victoire de la Marne est un fait accompli.
Le 44e poursuit l'ennemi sans lui laisser aucun répit.
Le 12, il attaque des arrière-gardes qui couvrent le passage de l'Aisne, les force à reculer et franchit la rivière à Vic-sur-Aisne ; toute la division s'installe sur la rive droite. Les jours suivants, malgré de furieuses contre-attaques allemandes, le régiment s'accroche aux plateaux qui dominent la vallée de l'Aisne. Des combats incessants se livrent, avec des alternatives d'avance et de recul, pour la possession des ravins de Bout, de Vaux et d'Autrèche.
Dans la nuit du 13 au 14, le 1e bataillon, complètement cerné et séparé du régiment, réussit, par des feux habilement conduits, à rejeter l'ennemi sur les baïonnettes du 3e bataillon qui jette à terre une grande partie des assaillants.


Extrait des pertes du régiment.