Saint Genis sur Menthon
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FAVRE Pierre Claude


Ses origines


Pierre Claude FAVRE est né le 29/01/1896 à Saint Genis sur Menthon au hameau des Guennes**.
Son père Pierre François avait 36 ans et était cultivateur.
Sa mère Marie Claudine née MAITRE avait 33 ans.
Jules Clément et Pierre Claude FAVRE étaient frères.
** Il semble que le nom "Guenne" désigne un arbre "le verne".
 

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Pierre Claude FAVRE mesurait 1.63 m; il avait les cheveux châtain et les yeux marron.
Au niveau instruction générale il est classé 2 : sait lire et écrire.
 

Sa vie avant la guerre
 


Recensement Saint Genis sur Menthon 1906 - Vernes -

 - Clément François né le 17/08/1901; décédé le 22/03/1913 à l'âge de 11 ans.


Recensement Saint Genis sur Menthon 1911 - Vernes -




Hameau des Vernes.


Au moment du conseil de révision Pierre Claude FAVRE exerçait le métier de cultivateur.

 

La guerre


Pierre Claude FAVRE est incorporé le 9/04/1915 au 171e RI.
Il passe au 172e RI le 25/03/1916 puis au 44e RI le 25/09/1916.
Il est blessé le 10/04/1917 par éclat d'obus au coté droit à Cauroy.
Il décède de blessures de guerre le 11/04/1917 à l'ambulance 6/7 à Trigny (Marne).
Il est inhumé au Carré militaire TRIGNY (51 - Marne) tombe 68.

Historique du 44e R I

dont extraits :
Transporté en Champagne, après un repos très court dans la région de Châlons-sur-Marne, le 44e occupe le secteur de la Main-de-Massiges, secteur légendaire par sa boue crayeuse, son enchevêtrement de tranchées et de boyaux et par les combats rapprochés que Français et Allemands s'y livrent sans trêve depuis plus d'un an, sous une pluie continuelle d'obus et de torpilles. En raison de l'étendue du front et de la grande activité que manifeste l'ennemi, le régiment veille sans répit pour assurer la garde de son secteur et faire face aux multiples travaux qui lui incombent. Sous l'action des pluies d'automne, les tranchées s'éboulent, les boyaux se comblent ; seul, le maniement continuel de la pelle et de la pioche permet de sauver la situation.