PREVEL Pierre Joseph
Ses origines
Pierre Joseph PREVEL est né le 11/11/1893 à Saint jean sur Veyle au
Gouet.
Son père Joseph avait 36 ans et était garçon meunier.
Sa mère Antoinette née TROUILLOUX avait 28 ans et était blanchisseuse.
Benjamin et Pierre Joseph PREVEL étaient frères.
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Joseph PREVEL |
Signalement
Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment
du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Pierre Joseph PREVEL mesurait 1.67 m; il avait les cheveux noir et les
yeux marron.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et
compter.
Sa vie avant la guerre
Recensement Saint Jean sur Veyle 1906 - Croyat -
Voir les liens sur frères et soeurs sur Joseph PREVEL (père).
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Joséphine Anaïs née le 27/09/1908
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Marie Philomène née le 10/09/1910.
Au moment du conseil de révision il exerçait le métier d'agriculteur.
Il est incorporé à compter du 26/11/1913 au 5e régiment d'artillerie.
Il passe au 23e RI le 11/05/1914.
La guerre
Pierre Joseph PREVEL disparait à Souche le 7/09/1914.
Son décès sera fixé à cette date par le tribunal de Bourg du 30/04/1920.
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Historique du 23e RI. |
dont extraits :
Le 5, les Allemands, qui veulent atteindre Fraize, prononcent une
vigoureuse attaque sur les positions tenues par le Régiment ; à droite,
le 3e bataillon perd Haute-Mandray ; à gauche, le 1er bataillon
maintient difficilement ses positions aux lisières nord de la forêt de
Mandray ; au centre, le 2e bataillon est attaqué au col même ; après une
violente préparation d'artillerie, l'ennemi parvient presque à la crête
; il en est rejeté par une vigoureuse contre-attaque à la baïonnette de
la 7e compagnie (capitaine Bos) qui le ramène jusqu'au pied des pentes.
Mais, dans la soirée, l'ennerni a reçu de nouveaux renforts et le
Régiment épuisé doit, pendant la nuit, se reporter sur des positions
plus en arrière, aux abords même de la rivière (ligne Mangoutte, Clefcy,
Arnould). I1 s'y organise le 6 septembre (le commandant Sohier prend à
cette date le commandement du Régiment).
Cependant, le haut commandement a décidé de reprendre pied sur la crête
de Mandray ; il monte dans ce but, pour le 8 septembre, une forte
attaque sur le col des Journaux.
Deux bataillons du Régiment (2e et 3°) doivent y prendre part sous les
ordres du commandant Sohier, tandis que le 1er bataillon maintiendra
l'occupation de la position de Mangoutte.
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