Saint Jean sur Veyle
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PREVEL Pierre Joseph
PRUDHON Jean Marie
QUIVET Jean Marie Joseph
ROZAND Alphonse
ROZAND Emile
ROZAND Louis
VALETTE Antoine
VERNAY Jean Marie
VERNAY Joseph
VILLARD Jean Marie











































































 

 

QUIVET Jean Marie Joseph


Ses origines

Jean Marie Joseph QUIVET est né le 19/03/1895 à Saint jean sur Veyle à La Croix.
Son père Pierre avait 41 ans et était cultivateur.
Sa mère Victorine née COUTURIER avait 29 ans.


 

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Jean Marie Joseph QUIVET mesurait 1.61 m; il avait les cheveux noir et les yeux marron.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et compter.
 

Sa vie avant la guerre
 



Recensement Saint Jean sur Veyle 1906 - La Croix -

 - Antonine Françoise née le 14/04/1897; mariée à Saint Jean sur Veyle le 28/11/1925 avec Eugène Célestin ROLLET.
 - Alfred Pierre né le 6/03/1899; marié le 11/12/1922 à Saint Cyr sur Menthon avec Marie Clémence MANIGAND.

Au moment du conseil de révision Jean Marie Joseph QUIVET exerçait le métier d'agriculteur.
 

La guerre

Jean Marie Joseph après avoir été ajourné pour endocardite rhumatismale est incorporé au 133e RI à compter du 8/09/1915.
Il passe au 44e RI le 20/01/1916.
Il est blessé le 25/02/1916 à Vaux (région de Verdun) par éclats d'obus ayant occasionné une plaie dans la partie gauche du thorax et une plaie à l'index droit.
Il est tué le 15/05/1918 dans le secteur de Vierstraat Dikkebus.

Historique du 44e RI

dont extraits :
Le 1e mai, la l4e division, affectée au détachement d'armée du Nord (général DE MITRY), gagne les Flandres et s'installe dans la région des Monts, en Belgique. Dans la nuit du 10 au 11 mai, le 44e relève, en plein combat, une brigade anglaise en face du village de Vierstraat, au nord-ouest du mont Kemmel, dont l'ennemi vient de s'emparer après de sanglants combats. Nos positions sont établies dans une plaine marécageuse que l'ennemi domine de son nouvel observatoire : les couverts y sont rares, les abris inexistants. Le harcèlement de l'artillerie allemande est continuel et meurtrier. Le sol est saturé d'ypérite que l'ennemi emploie à doses massives. On ne peut songer à circuler de jour sur ce terrain complètement découvert, où tout mouvement est repéré, et le port du masque est devenu pour nos soldats une pénible obligation de tous les instants. Le 14, une attaque allemande débouche sur la droite et s'étend sur tout le front de la division voisine. Une réaction immédiate de notre part brise l'effort de l'ennemi. Mais les pertes ont été sévères, et de très nombreuses intoxications ont considérablement réduit les effectifs ; le 44e est mis en réserve au sud de Poperinge.